Factoring : définition, coûts et conditions d’accès

Factoring : définition, coûts et conditions d’accès

Factoring : définition, coûts et conditions d’accès

Factoring : définition, coûts et conditions d’accès

Définition du factoring

Le terme « factoring » trouve son origine dans l’anglais et désigne une opération financière par laquelle une entreprise cède ses créances commerciales à un établissement spécialisé appelé « factor ». En contrepartie de cette cession, le factor avance immédiatement une partie significative du montant des factures (généralement entre 80 % et 90 %), prend en charge la gestion administrative du poste clients (relances, suivi des règlements) et, selon la formule choisie, assure la couverture du risque d’impayés. Le factoring se présente ainsi comme un levier de financement et de sécurisation de trésorerie : l’entreprise émet ses factures à ses clients, les transmet au factor, et reçoit en quelques jours le financement correspondant, tout en déléguant le recouvrement.

Pour une vue d’ensemble complète, consultez notre article sur le fonctionnement de l’affacturage.

Factoring et affacturage : quelle différence ?

Il existe plusieurs types d’affacturage adaptés aux différents profils d’entreprise.

En France, les deux termes sont souvent employés comme synonymes, mais on peut souligner quelques nuances :    

  • Origine et usage : « factoring » est un terme international, avantageusement utilisé pour les opérations transfrontalières. « Affacturage » est la traduction française consacrée par la réglementation locale.

  • Typologies de service : le factoring intègre traditionnellement plusieurs services (gestion, avance de trésorerie, assurance-crédit, export factoring, reverse factoring). L’affacturage, au sens strict, se concentre sur la cession de créances domestiques et peut inclure ou non l’assurance des impayés.

  • Portée géographique : on parlera plus volontiers de « factoring export » pour les opérations internationales et de « factoring domestique » pour les marchés locaux, tandis que « affacturage » s’applique à l’ensemble de ces activités sur le sol français.

Qu’est-ce que le reverse factoring ?

Le reverse factoring, ou affacturage inversé, est un mécanisme de financement initié par l’acheteur (souvent une grande entreprise) plutôt que par le fournisseur. Concrètement :    

  • L’acheteur négocie avec un factor des conditions de paiement anticipé pour ses fournisseurs.

  • Le fournisseur accepte de céder ses factures au factor dès émission.

  • Le factor règle immédiatement le fournisseur, à un taux avantageux, et l’acheteur paie le factor à l’échéance initiale de la facture.    

  

Ce schéma permet au fournisseur d’améliorer sa trésorerie sans renégocier les délais de paiement avec l’acheteur, et à ce dernier de soutenir la pérennité de sa chaîne d’approvisionnement.  

Combien ça coûte ?

Le coût du factoring dépend de plusieurs éléments :    

  • Commission de gestion : un pourcentage prélevé sur le montant des créances cédées, en général compris entre 0,5% et 2% HT.

  • Intérêts d’avance : calculés au prorata temporis sur le montant financé, selon un taux variable indexé (Euribor + marge du factor).

  • Frais annexes : ouverture de dossier, gestion des litiges, transfert de bordereaux Dailly, éventuellement frais de gestion des notes de frais ou des cartes de paiement associées.  

   

Le coût global varie donc selon le volume de facturation, la durée moyenne de financement et la qualité du portefeuille clients. Pour évaluer précisément l’impact sur la trésorerie, il est recommandé de demander un chiffrage détaillé et de comparer plusieurs offres.  

Critères d’éligibilité

Pour être éligible au factoring, une entreprise doit généralement satisfaire à des conditions d’éligibilité, comme :

  • Un volume minimum de facturation mensuelle

  • Bon profil des débiteurs

  • Historique de facturation généralement de 6 à 12 mois d’activité démontrée

  • Capacité à transmettre rapidement factures et documents justificatifs (papier ou dématérialisés).

Dans certains cas, une caution de sous-traitance peut également être exigée dans le cadre d’un financement.

  

La solution Faktus

Faktus propose une offre de factoring 100% en ligne qui combine les avantages du numérique et de l’expertise locale :    

  • Un compte bancaire professionnel avec IBAN français, pour séparer et sécuriser vos flux. 

  • Des cartes de paiement intégrées pour vos achats courants ou urgents sur chantier.

  • La possibilité d’effectuer des virements instantanés 24/7, idéale pour régler salaires et fournisseurs sans délai.

  • Un tableau de bord unique regroupant le suivi de vos factures, l’état de vos avances et la trésorerie disponible par projet ou chantier.

  • Un module de gestion des notes de frais par simple photo des reçus, pour un traitement automatisé et sans erreur.

  • Un accompagnement personnalisé avec un responsable dédié dans votre région.

En choisissant Faktus, vous bénéficiez d’une solution d’affacturage transparente, réactive et parfaitement adaptée aux besoins des entreprises modernes. Contactez-nous pour découvrir comment optimiser votre trésorerie et sécuriser votre poste clients dès aujourd’hui.

Découvrez aussi notre article sur l’affacturage en ligne adapté au BTP.

Factoring : définition, coûts et conditions d’accès

Définition du factoring

Le terme « factoring » trouve son origine dans l’anglais et désigne une opération financière par laquelle une entreprise cède ses créances commerciales à un établissement spécialisé appelé « factor ». En contrepartie de cette cession, le factor avance immédiatement une partie significative du montant des factures (généralement entre 80 % et 90 %), prend en charge la gestion administrative du poste clients (relances, suivi des règlements) et, selon la formule choisie, assure la couverture du risque d’impayés. Le factoring se présente ainsi comme un levier de financement et de sécurisation de trésorerie : l’entreprise émet ses factures à ses clients, les transmet au factor, et reçoit en quelques jours le financement correspondant, tout en déléguant le recouvrement.

Pour une vue d’ensemble complète, consultez notre article sur le fonctionnement de l’affacturage.

Factoring et affacturage : quelle différence ?

Il existe plusieurs types d’affacturage adaptés aux différents profils d’entreprise.

En France, les deux termes sont souvent employés comme synonymes, mais on peut souligner quelques nuances :    

  • Origine et usage : « factoring » est un terme international, avantageusement utilisé pour les opérations transfrontalières. « Affacturage » est la traduction française consacrée par la réglementation locale.

  • Typologies de service : le factoring intègre traditionnellement plusieurs services (gestion, avance de trésorerie, assurance-crédit, export factoring, reverse factoring). L’affacturage, au sens strict, se concentre sur la cession de créances domestiques et peut inclure ou non l’assurance des impayés.

  • Portée géographique : on parlera plus volontiers de « factoring export » pour les opérations internationales et de « factoring domestique » pour les marchés locaux, tandis que « affacturage » s’applique à l’ensemble de ces activités sur le sol français.

Qu’est-ce que le reverse factoring ?

Le reverse factoring, ou affacturage inversé, est un mécanisme de financement initié par l’acheteur (souvent une grande entreprise) plutôt que par le fournisseur. Concrètement :    

  • L’acheteur négocie avec un factor des conditions de paiement anticipé pour ses fournisseurs.

  • Le fournisseur accepte de céder ses factures au factor dès émission.

  • Le factor règle immédiatement le fournisseur, à un taux avantageux, et l’acheteur paie le factor à l’échéance initiale de la facture.    

  

Ce schéma permet au fournisseur d’améliorer sa trésorerie sans renégocier les délais de paiement avec l’acheteur, et à ce dernier de soutenir la pérennité de sa chaîne d’approvisionnement.  

Combien ça coûte ?

Le coût du factoring dépend de plusieurs éléments :    

  • Commission de gestion : un pourcentage prélevé sur le montant des créances cédées, en général compris entre 0,5% et 2% HT.

  • Intérêts d’avance : calculés au prorata temporis sur le montant financé, selon un taux variable indexé (Euribor + marge du factor).

  • Frais annexes : ouverture de dossier, gestion des litiges, transfert de bordereaux Dailly, éventuellement frais de gestion des notes de frais ou des cartes de paiement associées.  

   

Le coût global varie donc selon le volume de facturation, la durée moyenne de financement et la qualité du portefeuille clients. Pour évaluer précisément l’impact sur la trésorerie, il est recommandé de demander un chiffrage détaillé et de comparer plusieurs offres.  

Critères d’éligibilité

Pour être éligible au factoring, une entreprise doit généralement satisfaire à des conditions d’éligibilité, comme :

  • Un volume minimum de facturation mensuelle

  • Bon profil des débiteurs

  • Historique de facturation généralement de 6 à 12 mois d’activité démontrée

  • Capacité à transmettre rapidement factures et documents justificatifs (papier ou dématérialisés).

Dans certains cas, une caution de sous-traitance peut également être exigée dans le cadre d’un financement.

  

La solution Faktus

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  • Un compte bancaire professionnel avec IBAN français, pour séparer et sécuriser vos flux. 

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  • Un tableau de bord unique regroupant le suivi de vos factures, l’état de vos avances et la trésorerie disponible par projet ou chantier.

  • Un module de gestion des notes de frais par simple photo des reçus, pour un traitement automatisé et sans erreur.

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Faktus, société immatriculée au R.C.S de PARIS sous le numéro 978 087 138, dont le siège social est situé au 13 rue Béranger 75003 Paris, est inscrite au Registre unique des Intermédiaires en Assurance, Banque et Finance sous le numéro d’immatriculation 23008083 en qualité de Mandataire non exclusif en opérations de banque et en services de paiement.

© 2025 Faktus

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